On est en 2020 et peu de personne n'aurait jamais imaginé la situation actuelle.
Ce blog est ouvert depuis 5 ans, avec le recul, je constate que je suis sur la bonne route.......
On n'est pas au bout du tunnel, seuls ceux qui se préparent aux nouveaux défis que nous réservent l'avenir les vivront dans la joie.
En ce mois d'Août ou tous le monde est occupé par des jeux ou les vacances.
je vous partage la prophétie de Bison Blanc (1849 – 1947),
Lorsque les dates du calendrier qu’ils nous ont imposé seront de
nouveaux en position de miroir, les hommes auront oublié cette première
grande guerre qui aura versé tant de sang.
Les souvenirs des horreurs qu’ils ont traversées s’effaceront de leur
mémoire, et les esprits s’endormiront de nouveau. Les cœurs se fermeront
les uns aux autres, chacun s’isolant dans son propre univers, coupé du
sens de la solidarité.
Tel des loups solitaires, les humains se croiront libres d’aller là où
bon leur semblera, et d’agir à leur guise sans tenir compte des autres.
Ils ne réaliseront pas à quel point, sans la protection de sa meute, un
loup isolé est d’autant plus vulnérable…
C’est alors que, aux quatre coins de la Terre, débutera une nouvelle
guerre, la plus grande de toute. Une guerre sans fusils et sans canons.
Une guerre redoutable contre notre Mère la Terre, dans le but de la
maîtriser et de contrôler chacun de ses soupirs.
Une guerre viscérale qui exploitera toutes ses richesses et causera
l’extinction de nombreuses espèces, tant animales que végétales. Une
guerre sournoise qui anéantira le lien même des hommes avec la Nature,
et le grand cycle de vie dont ils font partie.
L’esprit endormi des hommes, coupé de sa reliance avec le grand Tout, ne
verra rien venir lorsqu’il deviendra la prochaine cible de cette soif
absolue de contrôle de ces envahisseurs.
Ultime conquête, le cerveau humain sera une proie de choix sur leur
tableau de chasse. Et ils n’auront besoin d’aucune arme pour asservir
les hommes : il leur suffira simplement, pour les réduire à néant, de
leur insuffler la peur.
Tel un loup solitaire traqué par un chasseur sans merci, l’humain isolé
de ses semblables ne trouvera aucune aide, aucun soutien, aucun répit,
ni aucun terrier pour se réfugier lorsque débutera cette guerre de
terreur et d’effroi.
Il sera traqué jusque dans sa propre maison. Assailli jour et nuit par
des images terrifiantes, les mémoires de ses ancêtres oubliés, il
craindra de sortir de chez lui.
Son cœur, coupé de sa lignée et endurci par des années de solitude
intérieure, en viendra à se méfier de ses voisins, de ses amis, et même
de sa propre famille. Ce sera le début de la fin pour cette humanité
sans âme et sans vision commune.
Seuls ceux et celles qui ont nourri le lien à la Terre, qui ont gardé
leur cœur ouvert et leur esprit éveillé, sauront qu’il est temps de se
lever et de quitter le confort de leur foyer pour se regrouper sur des
hauts lieux sacrés afin d’invoquer la clémence des Astres, des Anciens
et des Esprits.
Ceux et celles qui prendront le temps de laver leur âme du sang versé
par leurs ancêtres, et de purifier la Terre entachée par tant de
massacres, auront la possibilité de survivre à cette guerre impitoyable.
Ceux et celles qui créeront des havres de paix, des communautés
solidaires et unies par le Cœur, sauront résister à l’épreuve du feu qui
embrasera les cerveaux terrifiés par la peur.
Aux quatre coins de la planète, toutes ces âmes, rassemblées dans un
même Esprit d’Amour absolu, sauront retrouver le chemin qui mène à la
Paix.
Ensemble, elles s’uniront aux Astres, aux Anciens et aux Esprits, pour
réactiver la grande Roue de Médecine universelle, le Cercle de la
Création Éternelle, afin d’y bercer la Terre-Mère et tous ses habitants,
en faisant tomber le voile de l’oubli et les éveillant à leur véritable
Nature unifiée.
Ce sera le début d’une Ère nouvelle où, enfin, tous les humains seront
frères et feront UN avec la Nature, les animaux, les plantes, les
Anciens et les Astres. Alors, mes enfants, nous pourrons en toute
conscience quitter cette Terre et redevenir nous-mêmes des Étoiles.»
Je suis dansla dernière ligne droite sur la route sans frontières.
Il me reste à franchir les Pyrénées. L’option col de Roncevau est écartée cause météo reste 3 possibilités le tunnel de Biéla, le col d’Envalira ou le col de Porte.et puis le pic du Montalet pour dire bonjour à l’enfant sauvage de Lacaune
Jour 45
Changement de cap ……
Des gros orages cette nuit et je me penche sérieusement sur la météo en France. Vous y êtes habitué, moi pas donc je ne remonte pas sur l’atlantique je traverse l’Espagne Ouest/Est et je mettrais le clignoteur à gauche en fonction de la météo.
Le Hasard l’avait prémédité hier j’avais dévier du camino de Santiago après Logrogno pour trouver un hôtel et j’étais sur la route de Saragosse( 138 km). Ce matin pas de soleil mais un vent idéal je suis sur un tapis volant ( preuves à l appuis ) je fais du tourisme sur cette route des vins, et je me retrouve dans une arène pour une fête de village « Cardieta » j’ai longé le « Rio Ebro » ainsi que ce le dessert des Bardenas. Ou les vautours surveillent la A126 pour éliminer les animaux imprudents.
On est dimanche il est 14 h les Espagnols sont à table ce qui me décide dans une solution osée pour arriver à Saragosse je prends une autovia interdite aux tracteurs et le stresse monte quand elle croise une autoroute 4 voies et il faut que j’aille à gauche gros vent arrière puissance maximale et je n’ose pas vous donner ma vitesse une belle moyenne 30 km/h sans soleil qu’avec le vent ( 135 km en 4 h 32 )
Un petit clin d’œil au cycliste avec des gros mollets et un vélo de 7 kg, il m’a doublé alors que je roulais à 32km/h, il est se retournait pour voir si il me distançait je lui ai laissé prendre de l’avance et puis j’ai mis le gros braquet…….il se rappellera qu’il faut se méfier d’un vélo solaire avec remorque de 70 kg
Je me perd dans les rues de Saragosse où je croise des bus électriques de scooter carrossé électriques et je finit à cette place de « Nuestra Señora Pilar » j’adore ce petit cheval de bronze où tous les enfants se font prendre en photo pour finir la visite je traverse « El Puente de Piedra » flanqué de ses 4 lions.
Je compte avancer vers Huelva et le gros vent à forci rafales à plus de 50km/h latérales .
Par sécurité je trouve un hôtel et me mets à l’abris .
J’ai très bien mangé à midi et ce soir jeûne car pas de restaurant et je déjeunerai mieux à deux mains
Jour 46
Un beau ciel avant le lever de soleil, le vent est toujours présent et je roule vers le nord, une belle fresque que je pixelise àZuera des beaux paysages de terre ravinée c’est une région qui partait pauvre beaucoup de champs de blé d’une culture industrielle ( pas un coquelicot). Je traverse Huesca encore endormie. Quelques châteaux haut perchés me regardent passer. Je me dirige vers Barbastro ou une autoroute est en construction pour relier les deux villes et je tombe sur une fourmilière qui sont en pleine actionsans dénaturer tous les paysages. J’ai du mal à comprendre ses travaux titanesques alors que la N240 est une très belle nationale: pour quel avenir ?
Jour 47
Une journée magique, ce matin l’enfant sauvage me réveille et va me dit il faut partir le ciel est sans nuages il est 6 h et le petit déjeuné est à 8h …..
On déjeunera quand se sera l’heure.
Je monte vers le tunnel rien pour déjeuner se sera en France le soleil est présent mais toute la montée se fait à l’ombre et la surprise un bouchon tous en les véhicules qui m’ont doublé sont à l’arrêt je décide de doubler car le bouchon c’est un troupeau qui monte en estive et c’est un bonheur d’échanger avec les bergers. Même pas en rêve pousser un troupeau de 400 têtes avec un vélo solaire.
La Guardia civil est la pour gérer la circulation.je continue ma montée avec des panneaux qui indiquent les pourcentages du col sa me rassure sur l’interdiction et je croise un voyageur qui venait de le franchir. En même temps que les panneaux interdit aux piétons et cycliste !!!
La circulation est alternée et je m’engage pour 3,5 km de tunnel sauf qu’il monte et très raide je prends mon mal en patience et le stress monte au maximum quand je vois des gyrophares dans mes rétroviseurs je me mets sur la voie de gauche pour les laisser passer et ils me font signe d’accélérer je suis déjà dans la zone rouge ……
Au bout d’un moment je vois une lueur c’est la fin du tunnel mais le soleil est resté en Espagne.
Je me fait sermonner pour ma faute et j’aurais une amande la prochaine fois ( la prochaine je le ferais en descendant se sera plus rapide .
Je suis dans le brouillard il pleuviote et j’attaque la descente je suis gelé et je déjeune à Saint Lary à 11h
Il le reste à faire 130 km sans soleil et j’ai les batteries qui sont à 40%
Je pense que l’étape va être difficile.
Et j’économise le moindre watts. Je ne mange pas à Lanmezan et je continue en direction de Corneboeuf. Quelques taches bleues et les éclaircies apparaissent le moral remonte, pas les batteries mais elles se maintiennent.
Je vais gagner mon rêve à la force des mollets.
C’est pas la plus belle des étapes mais la plus intense en émotion 350 km en deux jours est ce soir je suis à plus de 6900 km en 47 jours
Un peut plus loin je survol’e des hirondelles quel bonheur de voyager à la vitesse du regard
J’ai fait sans soleil 110 km à ma pose repas 13 h 30 ( heure espagnole)et je mets cap vers la France j’ai pour objectif Bielsa par la vallée du Rio Cinca sur laquelle a été construit deux immenses barrages et j’ai des paysages magnifiques mais le manque de soleil me fait jeter l’éponge à Aínsa que je vous fait visiter c’est la ville de Corde ( Tarn) mais en Aragon cette vallée mérite le détour
Je suis à 40 kilomètres de la france et demain je suis chez des amis Marie et Pierre qui roulent avec deux Specbikes et qui sont de très bons amis
175 km avec 2000 de D+ avec 20% de soleil
Jour 48
Après une belle soirée j’ai une étape facile je n’ai plus de records à battre sauf de passer voir des amis et de la famille sur les deniers kilomètres de mon voyage.
Aujourd’hui j’ai choisi Toulouse car cette capitale de l’Occitanie
Je passe par Isle le Jourdain et mon application me trouve des piste cyclables d’une qualité que j’ai rarement vu. Une mention très bien à cette métropole et j’arrive par l’aéroport de Blagnac ou j’ai la surprise de croiser un musée vivant de l’aéronautique. J’avance sur ces pistes et surprise je suis place du Capitole le cœur de de la ville rose .
Je m’échappe toujours par des pistes cyclables sans voir un feu tricolore en direction du Lauraguais
Petite étape tourisme
Je suis à 7000 km en 48 jours plus de record à battre la base du Suntrip 2024 est de 7000 km en moins de 60 jours
Je préfère voyager en touriste et prendre le temps partager mon voyage avec vous que courir après les rayons de soleil car je l’ai dans le cœur
Jour 49
Tout à une fin si on veut repartir il faut bien rentrer.
J’ai longé les travaux de cette autoroute polémique entre Tououlse et Castres sur une nationale on la circulation n’est pas intensive . Mais il faut faire travailler les travaux publics avec des engins mécaniques pour faire une autoroute à péage pour gagner 10 minutes ………..
J’arrive à Puylaurens la ville où on peu voir les Pyrénées visibles à l’œil mais pas en images .
Par conte Mariane est bien présente. Et oui c’est la ville qui a vu naître Mariane et il en font un bel atout touristique je suis allé à une expo et à l’office de tourisme parler de mon voyage et j’en ai même acheter une grande comme une borne .
En plus je suis un enfant du pays mes parents avaient une boulangerie à 14 km et à 14 ans je sillonnait ses routes en vélos il y a juste 53 ans .
Et l’enfant sauvage a toujours des rêves d’enfant et des souvenirs sont très forts de passer sur ces routes chargées de souvenirs .
Une escale à Lombers cher Lulu et Christian pour rouler avec des Quadricycle de sa conception .
Une belle soirée avec François et Yollande avec qui je suis allé en vélo solaire deux fois au Maroc .
Reste la dernière ligne droite avec un arrêt obligatoire à Saint Cernin sur Rance ou trône la statue de l’enfant sauvage.
Jours 50
Aprèsune belle soirée à parler du monde solaire j’attaque la dernière étape pour retrouver mon lit 130 km sans soleil mais avec pleins de rêves.
Quitter mon département natal le Tarn et faire des images d’une très belles borne départementale sur la route d’Aix à Montauban.
Le point haut est passé et je fais une pause au point de vue de Saint Sernin Sur Rance .
C’est un arrêt obligatoire pour faire des photos avec Victor l’enfant sauvage capturé par les Aveyronnais le 8 janvier 1800.
Comme j’ai un peu de temps je vais faire tamponner mon carnet de pèlerin à la mairie . Et des liens se tissent entre la première adjointe et le cousin de l’enfant sauvage .
Je part à 11 h car j’ai rendez-vous avec un journaliste du Progrés je journal de saint Affrique .
Il est 13 après un repas c’est la tournée des amis et j’arrive à 18h à mon château solaire .
7300 km pas une crevaison, pas une panne.
Des petits réglages et l’usure des pneus.
Cette parenthèse de 50 jours se termine une autre commence se sera moins intense mais résultat des pensées qui ont mûri pendant se voyage dans la tête d’un enfant sauvage amoureux de la vie
Les chiffres du voyage
7285 km
61016 de dénivelé positif
309 h de trike en 50 jours 6 heures de pédalages
Des milliers de photos et 60 vidéos de 3 minutes
Le voyage sur la route sans frontières ne fait que commencer
J’avais pas trop envie ce matin de quitter cette océan que je longe depuis Tanger.
Mais un autre voyage commence celui de remonter à contre courant le flot de pèlerins qui caminent le long de ce chemin sans frontières.
J’ai une petite panne le câble du frein arrière et frein de parking c’est abîmé et je n’ait plus de freins arrière.partir du niveau zéro et je monte , je descends c’est des montagnes russes je ne peux plus faire d’images en roulant et je ne peux plus m’arrêter le plat n’existe pas au bout de 45 km je trouve de quoi réparer et l’enfant sauvage retrouvé le moral.
J’arrive à Santiago par les petites routes et je croise des pèlerins qui se dirigent vers Finesterra. J’avais fait deux repères sur maps Me. Et 12 h j’arrive dans la zone piétonne et je fais une pause pour boire une bonne Caña accompagnée « d’un plato conbinado »
Je reste deux heures car avec le dénivelé du matin en plus à l’ombre j’ai les batteries à moins de 50%, mais le soleil coule à flots.
Je profite de cette pause pour regarder le comportement des passants et je m’interroge sur leur façon d’analyser cette chose inconnue pour 99,9%…….
Je me lance dans cette ville mythique et la magie opère . Tous ces pèlerins en extase devant cette architecture du centre de Santiago.
Je vois dès Pèlerins avec des diplômes ……j’en veux un,et l’enfant sauvage cherche après un premier essai raté j’étais au parking de la police j’ai compris que j’allais pas avoir le bon certificat.
Enfin le trouve le saint des saints. Il faut faire la queue, s’inscrire ( quoi mettre ? Le départ du Maroc n’est pas référencé) sur une borne et on obtient un ticket et une hôtesse vous reçoit pour authentifier votre parcours. Et là je lui explique que je ne fais pas les églises je fait tamponner (El cello) que dans les endroits où je trouve des Cañas!!!! Que je viens de faire 5711 km ( total cumulé de 40 jours) et que je ne fais que commencer El Camino en sans contraire .
Une belle journée sur la route sans frontières avec record de dénivelé positif 2425 mètres j’en ai pas fais autant pour traverser l’Atlas
Ce soir je dort à Melide 60 km après Santiago et le col Roncevaux aux est à 688 kilomètres
Jour 41
Je pensais que je n’aurais pas grand chose à raconter dans ce 3 minutes et les rêves en ont décider autrement.
Il y a la face cachée du voyage qui fait moins rêver et qui existe. Je dors normalement dans un lit ( jamais le même) c’est le destin du voyageur Où dort mon vélo solaire ? Hier soir c’était compliqué, la suite en images .
Je prends mon déjeuner avant de ma lancer dans une belle étape car je surveille la météo et j’e vous ai envoyé du soleil et j’ai récupéré vos nuages qui arrivent qui vont me priver de carburant….. je gérerais la ressource et je ne suis pas pressé de rentrer. En deux jours j’ai fait plus de 300 km avec 4700 de D+ km
Ce matin je part en même temps que les pèlerins qui se dirigent vers Santiago et mon but c’est de faite étape à Pontavedra.
Je viens de franchir 3 cols le premier à 663 m le deuxième à 794 et le dernier à 1099 m je suis cuit cuit en plus l’ombre des arbres et les nuages sont de sortie. J’ai fait une belle pause avec José un français qui a fuit la France avec le « coronacircus » et il m’explique cette nouvelle version del camino , la voie Künig, j’avais vue des indices
J’avais décider d’arrêter au troisième col quand je tombe dans un repas local avec des poulpes 🦑 et je fait une pause de 2 h , même pas en rêves.
Je repars motivé sauf que des déviations pour des travaux n’ont pas prévu une voie pour les vélos et je finis sur l’autoroute en travaux !!!! La seule solution c’est de dételer la remorque enlever les sacoches et de franchir un passage le plus difficile de mon voyage .
En suite je retrouve une route tout en descente je glane des cerises et j’atteins mon objectif
En deux jours j’ai fait plus de 300 km avec 4700 de D+ km
A deux mains pour un autre carnet de voyage
Jour 42
J’ai voulu regarder la météo, nuageset possibilité de pluie. Ils se sont encore une fois de plus trompé. C’est pas le grand bleu mais j’arrive à équilibrer la charge et la décharge et je memets à rêver après avoir passé un col à 1225 mètres.
Je fait tamponner mon carnets à des endroits insolites le poste de police de Bembibre et la DDE en haut du col et oui c’est à coté del camino c’est bien de repérer pour implanter des bornes en plus elle sont déjà en place et je trouve l’idée originale d’en mettre au centre des ronds points .a c mon retour je contacte la DDE de L’hospitalet vu que les brebis on étés dérobés au rond point des places……..
Je suis à plus de 250 h de conduite en 42 jours et les idées ne manquent pas. A 12 h je suis à Astoria une voile incontournable sur El camino il est trop top pour manger et je peux être à Leon à 40 km pour le repas de 14 h ( heure espagnole oblige )
J’ai fait une halte avant Leon que je visite avec mon tapis volant.
Je m’arrête à Mansilla de las Mulas 140 km car j’avais crainte d’être dans la pampa.
Je joue la sécurité et demain sera un autre jour.
Mes statistiques me fascines
En 3 jours 450 km
D+ 6200
Heures de pédalage 20 h
5711 km au total
Jour 43
Ce matin pas de soleil faut revoir les prévisions à la baisse. A mon départ je croise Sophie et Patrice un couple charmant et qui découvrent le vélo solaire et chaqu’un par dans sa direction.
Au bout de quelques kilomètres je ressent une légère douleur aux ligaments des genoux ( les efforts des 3 derniers jours ) je sort ma boîte de bien être que l’on m’a préparé avec amour et je me fait me un soin. Quelques kilomètres plus loin un grand corbeau ( je n’ai jamais vu un corbeau sur un panneau !!!)il est posé et me regarde dans les yeux…… merci grand corbeau de m’encourager.
Je traverse une région agricole sponsorisée par l’Europe irrigation à outrance des tracteurs énormes!!! Est-ce bien raisonnable ? drôle d’avenir que préparent les technocrates !!!
J’arrive à Sahagún haut lieu d’El Camino et je comprends pour quoi. Je pont principal de la N106 est fermé, avec Maps ME je trouve une passerelle qui enjambe le Cea le coin est trop beau j’ai croisé des pèlerins et j’attends un autre groupe pour faire des images et la surprise je croise Pipa je pense que c’est le nom de l’âne qui fait le chemin sauf qu’un âne sa avance quand il en a envie et j’ai raté l’image vu son chargement et les 85 cm du trike mais c’est passé en force ….. on c’est échanger nos Instagram avec son maître . Une rencontre à c’est endroit même pas en rêves . La visite de Sahagùn et je continue ma route sur la voie Aquitania un chemin parmis tant d’autre et sans frontières.
Le soleil fait quelques apparitions, je genoux va mieux et je révise mes prévisions à la hausse
Ce soir je suis à 4 kilomètres de Bourgos.
En 4 jours j’ai fait 66% del camino soit 620 km ……
Même pas en rêves
Jour 44
Grâce à une belle fresque je découvre un hôtel raisonnable à 5 km de Bourgos. Hier soir un bel orage cela faisait longtemps que je n’avait pas entendu le bruit de la pluie et dans son lit c’est agréable.
Pour ceux qui se demandent comment je m’oriente c’est facile et à votre portée il faut juste connaître les pièges de Maps ME. Cette application permet de positionner des points et de les modifier en 2 secondes. Je repère le départ et l’arrivée je fais des points intermédiaires en fonction de mes rêves et quand je suis sur zone je vérifie pour les passages délicats et j’affine mon parcours quelques captures d’écrans pour comprendre et ainsi tout mon parcours est archivé. Simple et efficace et gratuit et sa marche sans réseau.
Ce matin visite de Bourgos et je suis émerveillé par la beauté de cette ville un bel échange avec des pèlerins au pied de la cathédrale de Bourgos . J’y reviendrait car cette ville avec ses parc ses statues mérite d’y passer plus de temps.
Je pars en direction le Logrogno toujours en remontant El camino . J’arrive à Logrogño et je suis très déçu une ville moderne pas moyens de trouver un quartier typique je décide de fuir en direction de Pampelune et le soleil se cache derrière des nuages d’orages et j’avance avec un profil favorable après le col du matin à 1150 mètres .
Mon but est de trouver un hôtel j’ai perdu El camino et je suis sur une route des vins et c’est la misère. Ils sont tous fermés heureusement que j’ai géré la ressources pour enfin trouver un hébergement à 172 km encore une belle étape l’avant dernière avant la France, le chemin espagnol touche à sa fin pour moi. Demain Pampelune et Roncevaille.
Hier je flâne en direction du cap Finestra mon prochain rêve
et je suis interpellé par des pèlerins qui étaient arrivés dans l’albergue S. Tiago de Labruge .
Et la un autre voyage commence
Le matin pas de vent je décide de prendre le chemin de pèlerins au plus près de la côte.c’est magique mais la magie à ses faiblesses qui me donne droit à un remorquage manuel de mont tapis qui ne sait pas nager.
Je croise un cycliste allemand qui a une Remouque solaire et qui fait le tour de la péninsule Ibérique . C’est là que mes lacunes en anglais me pénalisent..
La frontière approche et j’ai repris une nationale ou je roule avec plaisir.À quelques kilomètres de la frontière j’ai envie d’aller visiter Vila de Condé et c’est magnifique ils préparent une fête votive.
J’ai l’Espagne de l’autre du bras de d’océan.
Hier j’ai acheté un carnet du pèlerin qu’il font tamponner et je me pique au jeux. Je décide d’aller glaner un tampon , le dernier du Portugal et je tombe sur une fête incroyable à Caminha , les rues de la ville sont décorées avec des pétales de fleurs et toutes choses naturelles trop beau je vais en faire une vidéo bonus .
Je tente de prendre un bac pour rallier l’Espagne , raté. Donc je prends le pont et je me paye le luxe de faire un aller-retour pour prendre le panneau du Portugal 🇵🇹 et oui j’en ai un très beau souvenir et j’y reviendrais .
Je fais escale dans un port À Guarda après une belle petite étape de 124 km en 6h 45 de tourisme
Jour 36
Je traîne ce matin car je ne suis plus à l’heure Portugaise, je suis à la même heure que la france avec une heure de décalage solaire .
Et ce matin le vent souffle déjà très fort bizarre mais il n’est plus de face.
Ce n’est pas les mêmes paysages qu’au Portugal , c’est comme si j’avais quitté les Landes pour faire la Bretagne.
La magie « del camino de Santiago » est présente partout et les pèlerins aussi car le chemin de Porto à Santiago est très prisé.
Le vélo solaire est très regardé par les cyclistes et je fais la promo de la route sans frontières sur ce chemin qui n’en a pas.
J’ai fait demie tour pour aller voir un vendeur de coquilles un moment très fort entre deux bornés.
Et enfin arrive Vigo une ville inconnue pour moi. Ce n’est pas une ville c’est un port avec des bateaux de croisière et un chantier navals . Un ville très danse avec un centre ville digne d’une métropole.
J’ai décidé de longer la côte et pas de pont ( sauf l’autoroute) donc je fair une boucle de 35 km mais quand on est au paradis les kilomètres ne comptent plus .
J’ai décider de ne pas dépasser 100 km par jour, je ne veux pas être hors course de mon voyage passion si je rentre trop tôt.
A deux mains ce sera un autre jour
Jour 37
Vous avez changé de mois , je suis dans le cumul des levers de soleil loin du Larzac.
Cette côte bordée par l’océan atlantique inconnue pour moi me fascine. Je pourrais faire plus court mais je veux savourer cette « Atlantis Coast Road »que je remonte depuis Lagos au Portugal. Plus de 1200 km.
Je ne veux pas en perdre une miette. Quand j’aurais atteint le cap Finistera se sera plein Est et finit l’océan je ne sais pas quand je le reverrais peut-être en rêves.
Des le premier kilomètre je double une baleine, la journée commence bien. Les villages se touchent et je programme ma route par 5 km pour être au plus près de l’océan.je dois avoir quitté el Caminho.
J’ai comme repère une Ville de Pontevedra pour la pause déjeuner. Le soleil à l’est, l’océan à l’ouest, idéal pour faire de belles photos.
Et je perds le Nord quand j’arrive dans Pontavedra une sœur jumelle de Vigo,un port avec un centre historique où je me perds. Je me croyais aux portes le l’armée à la cavalerie et oui l armée fait de la promo même en Espagne. Mais l’enfant sauvage ne se perd pas si vite et mon flair me guide vers un bon restaurant ou je mange un excellant Bacalao pour 18 €.
C’est un sol granitique et les maisons sont toutes en granit, même les garde corps, et le murs de clôtures. Le granit est utiliser pour la culture de la vigne sous forme de treille
Je recommence à voir des traces « d’El Caminho »
Et j’emprunte une variante spirituelle qui se finit par des chemins un peu chaotique mais c’est mon choix. Ce qui me réconforte c’est les qualités de se trike merci à Specbique-technics il passe partout et la remorque le suis.
Je viens de regardez ma route pour le jour 38 a vol d’oiseau le cap Finestra est proche mais pour profiter des bords d’océan il me faudra encore une étape côtière avant de l’atteindre.
Jour 38
Chaque matin c’est l’interrogation ? C’est pas possible que je trouve plus beau que hier !!!!
Et bien oui j’ai pas besoins de rouler beaucoup et je tombe sur un panneau qui indique le cap Fisterra à 232 km je trouve cela bizarre mais je me dis que ce n’est que du plaisir.
Et je me mets à faire des photos de tous les panneaux qui sont différents ( car la route est très très biens balisée) à un moment il me dit d’aller à droite je l’écoute sagement, un deuxième panneau avec côté à 8%. sur 700 mètres sauf que c’est un chemin limite carrossable et qui m’entraîne dans les bois je peux plus faire marche arrière je réfléchis pour sortir au plus vite de cette galère et je finit par me renverser pas de mal rien de cassé.
Je retrouve une route et j’opte pour une autre méthode d’orientation. 20% aux panneaux de l’atlantic Coast Route prévue pour des VTT. 30 % a maps’me qui est très coquin et 50 % à l’instinct de l’enfant sauvage.
Avec ce mix je découvre des endroits magiques je trouve des bornes qui sont identiques à celle du Cap Fisterra.
Le reste vous le découvrirez dans la vidéo du jour 36 plus un bonus de 3 minutes sur le jeu de piste pour rejoindre ce cap mythique cap le plus à l’Ouest du continent Européen.
Jour 39
C’est une journée importante, je serais au cap Finisterra dans la journée.
J’y étais venu en moto avec des copains qui ne pouvait pas marcher. Y revenir en vélo solaire en passant par le Maroc est même pas dans mes rêves . Je fais une vidéo bonus c’est un point important du voyage je revendique être ambassadeur de la route mondiale, route sans frontières et je suis sur ce chemin sans frontières qui part des 4 coins du monde qui fait rêver des milliers de personnes et qui un jour se lance, par petites étapes puis par des voies mythiques mais le Cap est le terminal pour beaucoup ou comme pour moi et reste à dessiner la route pour rentrer sur le larzac, si je me perds pas en chemin .
Toujours de belles images aujourd’hui c’est les touches de couleurs sur les maisons, quelques bornes en granit toutes liés à ce point zéro et l’école de Finesterra me donne envie d’y retourner.
Et pour finir une congère de sable ……….je ne suis pas rentré
Et oui j’ai continuer sur la côte car je n’avait pas envie de rouler sur une route que j’ai déjà empruntée .
Bonus finesterra
Quand je me suis lancée en mars ( alors que je voyageais à l’arrêt depuis 3 ans)sur les traces du Suntrip 2024 une idée a fait germer un rêve, dans le mental de l’enfant sauvage.
Quand j’ai embarqué à Séte je savais que sur le papier c’était réalisable de réaliser ce rêve fou.
Rejoindre le Cap Finesterra en passant par Zagora
Je suis positif à très haute intensité et les cauchemars ont été chassés par le vent et le soleil brille depuis 39 jours
Il me reste quelques kilomètres pour rentrer sur le larzac en croisant des pèlerins car je remonte El camino par le col de Rocevaux et puis se sera mes rêves qui me guideront et je leur fait entièrement confiance
Du point le plus bas de l'Europe Tarifa au détroit de Gibraltar.
Au point le plus à l'Ouest la cap Finestra ou le bout des Camino de Santiago.
Jour 23
Un nouveau voyage commence car c’est mes rêves qui vont tracer le chemin .
Mon premier rêve est de faire une déclaration d’amour à la belle de Cadix et de remercier toutes mes ex qui n’ont pas lu le mode d’emplois de l’enfant sauvage .
Le rêve de ce soir c’est que je vais passer une nuit merveilleuse avec une andalouse , ce sera qu’une nuit et pour celle qui voudrait capturer l’enfant sauvage je leur conseille de lier le mode d’emploi jusqu’à la dernière page .
Je commence un voyage sans tracé.
J’ai l’impression d’être au Maroc sauf que les voitures ont toutes des plaques espagnoles. Je suis sage mais je ne m’interdit pas de prendre l’autoroute par contre j’ai caqué, pas vu l’interdiction .
j’avais promis de pas boire de caña avant ma déclaration à la belle de Cadix je m’excuse auprès de mes EX qui ont pas su retenir l’enfant sauvage et je ne pense à celle qui a voulu mettre l’enfant sauvage en cage. Je conseille à la prochaine femme de ma vie de lire le mode d’emplois de l’enfant sauvage jusqu’à la dernière page .
Ne pas savoir avec qui tu dort ce soir est un luxe réservé aux aventuriers pour finalement dormir à coté de la remorque dans la chambre d’hôtel.
Le fait du jour c’est que j’aime le bleu et j’ai roulé 49 km sur des autoroutes !!!! J’ai pas vus d’interdiction pour les vélos solaires mais j’ai vu plusieurs fois fin d’autoroute ???
Tout c’est bien passé demain je vais à Séville mais par qu’elle route ? Ce sera la route sans frontières.i’ai pas envie de rentrer j’ai juste envie de vous faire rêver.
Jour 24
Une journée normale avec la visite de Seville,
Je suis parti très tôt avant le lever de soleil la route est belle je fais toujours de belles images et j’e ire de prendre la Autivia ( raté)
Après 100 km je suis à Séville qui sera l’objet d’une vidéo spéciale pour que vous appréciez sa beauté et le nombre de touristes .
Patricia et José Luc m’appellent car ils ont un ami à Faro ( Portugal)🇵🇹 et comme j’y passe ils organise une rencontre sauf que j’avais prévu d’y être dans deux jours , et Celestino ne sera pas là !!!!
Donc je décide de m’avance et un maximum pour rencontrer Celestino mais le vent se lève et ma Pénalise j’aurais pus être au Portugal ce soir, j’y serais demain à 14 pour cette rencontre.
Un peu de pression et un record
219 km en 570 minutes de pédalage
Et 1300 de D+
Plus de 100km vent de face , mais le records sont fait pour être battus
Le bonus de Séville visite en trike solaire la meilleure façon de visiter une ville en utilisant l’application Maps.me. Et de rejoindre les points choisis . Tout mon voyage est organisé ainsi
Jour 25
Petit journée mais je vais traverser de l’Espagne au Portugal car le pont autoroutier ne m’enchante pas trop.
J’ai moins de 100km alors je flâne j’essaie de trouver des petite routes et de trouver des perles pour vous le partager.
J’ai juste un rendez vous avec Celestino vers 16 h pour parler cuisson solaire.
Et là je suis obligé de faire une vidéo bonus pour vous transmettre la passion de se professeur de faculté de Faro expert en cuisson solaire.
Bilan 122 km avec vent de face et des nuages
Jour 26
Réveil à 6 h pour aider Celestino à préparer sa présentation à Séville.
Café solaire au premiers rayons de soleil après des adieux chaleureux et me voilà parti pour visiter Faro ville pas trop touristique et je la perds dans des quartiers du port où je croise un cycliste qui a fait le tour d’Europe avec une jambe .Comme quoi on est la seule limite à nos rêves .j’essaye de rouler le plus près de la mer et je fais de belles images . Sacré Maps.me il me fait des sacrés tours mais cela fait de belle images .
Je fais une pause repas dans un lieu magique.
Je croisé beaucoup de nids de cigognes et j’arrive à Lagos pas simple de trouver un hôtel mais j’arrive à en trouver de raisonnable ou mon trike sera en sécurité.
Après une pause je visite Lagos ou j’avais séjourné en février 2020 juste avant le coronacircus.et se sera un bonus vidéo car impossible de rentrer tout en 3 minutes
Jour 27
C’est le premier jour que je n’ai pas de point d’arrivée. Je suis en mode tourisme
Départ 8 h 30 direction la forteresse de Sagresse et on me laisse rentrer avec le vélo solaire je fais le tour du fort mais ça pas de chance la mer et calme et on entend pas la mer rugir dans le labyrinthe . Et pour la sortie du fort on m’ouvre le pont levis latéral . A8 km le point le plus extrême du Portugal je cap Saint Vincente. Hélas il est fermé j’aurais bien fait le tour du Phare.
Et je commence ma remontée vers le Larzac ……w
Je cherche des diagonales pour et je vise bien. Les kilomètres s’enchaînent toujours avec du vent latéral je roule sur l’Atlantic coast route sans frontières .
Qui croise « el camino portugues de Santiago »
Le passé la nuit à Odeceixe la 7eme merveille du Portugal 🇵🇹 en plus une nuit de pleine lune
Je vais faire le loup garou avec la reine des pirates
Jour 28
Il y a un mois j’embarquais à Séteet je viens de passer les 4500 km avec le trike sans soucis mécanique.
A son guidon je vis un rêve dans mon baquet
Les 70 premiers km sur le chemin de saint Jacques sont agréables d’une crique à l’autre. Toujours avec un gros vent latéral mais il repousse les nuages.
Je ne me fait plus de soucis de la météo j’avance en scrutant les belles images que me procure ce voyage. J’ai fais plusieurs images de cigognes mais c’est difficile de reproduire ce que je vois. Souvent elles ont fait des nids sur tous les pylônes est c’est époustouflant en plus les petits sont né deux à trois par nids. Beaucoup de pylônes sont équipés d’aiguilles pour qu’elles me nichent pas à des endroits dangereux .
Je suis passé à coté d’un couple qui piquent mais je trouvé bizarre les grosses boites qu’ils avaient…..
Je fais demis tour car je suis intégré.
Et j’e Gange avec le couple c’est leur façon d’aimer les chats SDF. Et croyez moi ils étaient au rendez vous ce soir de pleine lune se sera les « chats garou »
J’ai fait 80 kilomètres dans une forêt de pins (comme dans les landes )avec des dunes de sable
Pour finir sur un bras de terre ou je comptais dormir.
Et la surprise c’est Miami les riches on colonisé la pointe et je peux même pas prendre le ferry avec le vélo. D’ailleurs les landes la voie verte atlantique et le ferry sur la Gironde c’est peut être un rêve
Sa me rallonge ma route et je je trouve un hôtel à Setúbal à 30 km de Lisbonne
Belle étape de 175 km avec 1000 mètres de D+
Jour 29
J’ai un peu d’appréhension avec la visite de Lisbonne, mais c’est un passage obligé.
Je prépare ma route pour contournement de la presqu’île de Setúbal et Maps.me ne voulait pas et j’ai forcé le Destin et il avait raison route bien barré pas question de passer 10+ 10 km.
Je traverse ce bras de terre de 40 km pour arriver au ferry. Et là il m’a disent que c’est pas un vélo c’est plus grand qu’une voiture , un peu de stress il on envoyé la photo au capitaine qui a dit ok HOUFF. Soulagé l’enfant sauvage .
15 minutes de traversée et c’est Lisbonne et sa magie . Il me tarde de sortir de cette capitale Européenne et de longer la côte où je me sens plus à l’aise les kilomètres et les images s’enchaînent.
Bern un ami m’a conseiller d’aller à Sintra je prévois d’y faire étape et là tous les hôtels sont pleins pas de camping je replonge vers la côte pour voir le coucher de soleil de l’auberge de jeunesse que j’ai pu trouver avec Booking.
Encore une belle étape
140 km 1500 de D+ et 7 h 30 de pédalage.
Bonus Lisbonne
Je ne connaissais pas mais après avoir visité Séville je m’attaque à Lisbonne
La prochaine se sera Porto
Le 24 mai
Pose de la 13 éme borne officielle de la route mondiale dans le Lot à la Tour de Faure .
Belle cérémonie en musique pleine d’émotions en présence du président de Cahors Mondi merci au deux enseignants du lycée technique lycée Monnerville et St Etienne qui proposent à leurs élèves de fabriquer la borne de la route sans frontières de Cahors Mundi. Les enfants des écoles de la tour de Faure inaugurent la borne .
Trois générations réunis pour faire avancer la route sans frontières le 24 mai 2024.
Une inauguration est prévue en octobre à Zagora première sur le continent Africain .
Jour 30
J’avais prévu de vous parler de m’on organisation. 30 jours après le départ c’est le moment de connaître les coulisses.
2 sacoches dans une: le duvet +trousse de toilette avec pharmacie et nécessaire personnel +ordinateur et câble +paires d’espadrille
pour l’autre deux boîtes à outils avec le maximum du minimum. Et deux sacs de fringues que je lave quand je peux et que je replis soigneusement tous les matins. Dans la remorque le nécessaire de camping.il faut pas grand chose et j’en ai encore trop.
Je ne sais pas comment appeler cette journée : la journée des ronds points ou des dinosaures.et des raccourcis sur chemin de terre ou aller jusqu’au bout de ses rêves.
J’ai essayé de rouler au plus proche de la côte cela fait que monter et descendre. C’est la côte des surfeurs et leur paradis et à Nazareth .
Qui est mon objectif avec un rêve de faire un bivouac dans se paradis et j’ai réalisé mon rêve.
Juste prévu de l’eau et j’ai des pistaches mais en ce moment je vis d’amour de la vie et d’eau fraîche. Je suis à un endroit où je vais voir le coucher de soleil et son lever au pied d’un moulin à vent
Demain 160 km pour faire escale chez patrice avec jouet de repos pour réparer la remorque .
En 30 jours. 4598 km. Moyenne de 24,2. Km/h
Dénivelé positif 37063. Metres soit assez ion de 116 Tour Eiffel
Minutes sur le trike 11360 soit 190 heures semaine à 40 h de pédalage en moyenne.
Jour 31
Demain on change de moi , pas moi…….32 , 33 , 34 ,
Réveillé par la pluie et le vent normal pour le vent le moulin à plus d’ailes……..La pluie a lavé le panneaux solaire faut positiver car j’ai 170 km à faire .
Je plis tout mon barda je prends la remorque qui faisait du stop au bord de la route . C’est vrai que je lui même la vie dure. C’est comme toutes mes ex qui n’arrive pas suivre mais je l’aime tellement que je l’amare pour continuer le voyage.
Pas un chat à Nazaré il est 6h45.
J’en profite de faire mon « Doling » journalier face à l’océan. Après avoir trouvé une bonne pâtisserie je roule car j’ai encore 170 km à faire.
Je suis sur un tapis roulant je longe cette côte portugaise entre océan et dunes de sable. C’est dimanche et les cyclistes sont de sortie. Deux me doublent et j’aime pas trop je mets les watts et ils disparaissent dans les rétros. Sauf que je fais trop de photos ils me rattrapent et me proposent de boire un café……. La vie solitaire d’un voyageur en vélo solaire. Rencontre avec un couple de canadiens ……
A 13 h j’ai fait 100 km et je savoure mon premier «bacalao ». Les nuages ont pris la fuite et je recharge au max.
Il me reste 95 km à faire pour rejoindre Nicole et Patrice pour une escale technique car la remorque à du mal à me suivre sur les pistes cyclables. A deux reprises j’ai crus à un atterrissage sur un porte avion.
A part ça tout va bien et je n’ai plus la notion du temps , des kilomètres, du vent quand le soleil brille.
Belle étape 196,6 km 900 m de D+ et plus de 9 h à pédaler
Jour 32
Se sera un jour de repos ou plus tôt un jour de mécanique bienvenu. Le hasard fait bien les choses j’ai rencontré Patrice à toulouse le 5 février 2019 a une opération Gillet jaune pour barrer l autoroute entre toulouse et bordeaux. Patirice avait trouvé mon initiative originale descendre du larzac très tôt le matin pour etres à un rendez vous à 6 h du matin.
Il est passé beaucoup d’eau sous les ponts depuis ce combat des gilets jaunies .
Nicole et Patrice on fait un choix quitter la france pour vivre au Portugal . Facile à dire , il faut de l’engagement pour sauter le pas.
On avait gardé clé contact et je n’avait jamais envisagé d’aller lui rendre visite . Trop loin…. peut être l’avion ou la voiture 1500 km.
Il reste le vélo via le Maroc.et j’ai fait une pause réparation car le toit solaire de la remorque était cassé. Patrice qui travaille à toulouse dans la maintenance de l’aviation il est un trésors de savoir-faire et ma remorque est plus que neuve.
L’occasion d’échanger sur la vie au Portugal et ils ne regrettent pas leur choix .
Je suis à 50 kilomètres de Porto et je vais suivre les conseils de Patrice, une boucle dans Arievo surnommé la Venise portugaise.
Le pastel de Nata se savoure avec les la cannelle et Les lulas ( des bébé calamars) se grillent dans la rue sur des bac de braise .
Une ambiance portugaise que seul un guide local peut vous faire connaître .
Merci à Nicole et on Patrice pour ces 36 heures magique même pas en rêves ils on gagné leur carte de citoyens du monde .